En juin 1994, Emilie Tanay, une fillette de 9 ans, meurt après avoir absorbé un antibiotique, la Josacine. Immédiatement, le médicament est interdit à la vente et une véritable psychose s'empare du pays. L'enquête disculpe rapidement le laboratoire, les analyses ayant prouvé que le poison a été introduit dans le flacon au tout dernier moment. L'autopsie pratiquée sur le corps de l'enfant révèle des traces de cyanure dans son organisme. L'affaire prend dès lors une toute autre tournure.