Emmanuel Berl confie à Roger Grenier ses réflexions concernant l'écologie et la biologie. Il considère que la Terre doit être considérée comme un ensemble et non comme un appartement divisé en pièces indépendantes les unes des autres. Il poursuit en évoquant la biologie et déclare que la métabiologie est en train de remplacer la métaphysique. Interrogé sur la question de Dieu, il affirme que «Dieu est essentiellement ce qui permet de mettre le monde en accusation. S'il n'y a pas de Dieu, au nom de quoi peut-on parler de mal ?». Emmanuel Berl finit en évoquant Malraux, André Breton et les surréalistes.