Après la victoire de la Wehrmacht, une partie de la population française découvre un occupant moins féroce qu'elle ne l'imaginait de prime abord. Les troupes allemandes, soulagées par la fin de la bataille de France, profitent de la douceur de vivre hexagonale comme si elles étaient en vacances. Séduits ou dans le besoin, de nombreux Français acceptent finalement le contact avec l'ennemi. Mais tout le monde n'est pas dupe de cette «occupation douce». Certains comprennent que les nazis avancent masqués, pour mieux piller les ressources du pays et se livrer aux premières rafles de juifs.