Grand banditisme, prises d'otages et arrestations de forcenés : voici le quotidien du PI2G, le Peloton d'Intervention 2e Génération, la nouvelle unité de la gendarmerie nationale. Installés en province, 70 hommes surentraînés prennent le relais des gendarmes de terrain quand le risque est trop grand.
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Grand banditisme, prises d'otages et arrestations de forcenés : voici le quotidien du PI2G, le Peloton d'Intervention 2e Génération, la toute nouvelle unité de choc de la gendarmerie nationale. Installés dans plusieurs grandes villes de province, 70 hommes surentraînés doivent se tenir prêts à intervenir en moins de trente minutes, en ville comme à la campagne. Qu'il s'agisse de repérages, de filatures ou d'interpellations, le PI2G prend le relais des gendarmes de terrain quand le risque est trop important. Pour rejoindre ces unités d'élites, des épreuves de recrutement draconiennes sont imposées aux aspirants, dont les nerfs sont mis à rude épreuve.