Parallèlement au premier récit, il y a une seconde histoire, chronologique, au présent, qui raconte le quotidien des deux dernières années du chantier. C'est la "dernière ligne droite" où il faut, en à peine plus d'un an, finir la flèche, la charpente, les peintures, le mobilier liturgique, l'orgue et enfin poser le coq, dessiné par Philippe Villeneuve, l'architecte en chef, lui-même, tout en haut de la flèche. Ce second récit commence par un coup de théâtre : la mort accidentelle dans les Pyrénées du responsable numéro 1 du chantier, le général Jean-Louis Georgelin. Clin d'œil dramatique qui montre que Notre-Dame reste quand ses serviteurs passent.