Présent dans deux films belges sur 3, Sam Louwyck est l'incarnation parfaite de l'éclosion du cinéma flamand depuis une quinzaine d'années. C'est dans un film de Tom Barman que la silhouette aérienne de cet ancien danseur et chorégraphe a été découverte. Avec «Le Chant des Hommes», de Mary Jiménez et Bénédicte Liénard, il enfile la soutane du Père André.
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Présent dans deux films belges sur 3, Sam Louwyck est l'incarnation parfaite de l'éclosion du cinéma flamand depuis une quinzaine d'années. C'est dans un film de Tom Barman que la silhouette aérienne de cet ancien danseur et chorégraphe a été découverte. Avec «Le Chant des Hommes», de Mary Jiménez et Bénédicte Liénard, il enfile la soutane du Père André, dans une histoire inspirée de la grève de la faim des sans-papiers de l'église du Gésu. A la fois danseur, chorégraphe, chanteur et acteur, Sam Louwyck excelle dans l'art de rendre poreuses les frontières entre les disciplines. En résulte un style de jeu, comme acteur, unique : son corps, ses positions et ses mouvements en disent souvent plus que les dialogues.