En Jordanie. Mariée et mère d'une fillette, Nawal, 30 ans, se retrouve livrée à elle-même du jour au lendemain après le décès brutal de son époux. Désemparée, la jeune femme se démène pour parvenir à rembourser les quelques dettes laissées par le défunt. En plein deuil, Nawal subit un nouveau coup de massue quand elle apprend qu'elle doit vendre sa maison. En effet, d'après les lois en vigueur dans le pays en matière d'héritage, ses biens doivent être répartis entre les plus proches parents du défunt car le couple n'avait pas de garçon. Mais elle découvre bientôt qu'elle est enceinte...
Notre critique
"إن شاء الله ولد" (2024) offre un regard poignant sur les défis sociaux et culturels des femmes dans une société patriarcale. Entre émotions brutes et réalisme saisissant, le film brille par sa justesse, mais souffre parfois de quelques longueurs narratives.
Vidéo Inchallah un fils
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