Le dernier jour de la première guerre mondiale, Joe Bonham, engagé volontaire, est mis en pièces par un obus. Il n’a plus ni bras, ni jambes, ni visage. Privé de tous les organes sensoriels, il ne lui reste que son cerveau qui pense et rêve. Il tente de communiquer avec l’infirmière mais, lorsqu’il y parvient en morse avec sa tête, les médecins militaires rejettent ses suppliques et le maintiennent en vie contre son gré.
Notre critique
"Johnny Got His Gun" donne une perspective puissante sur les horreurs de la guerre. Le film est poignant, visuellement saisissant et possède une performance captivante de Timothy Bottoms. Une œuvre émotionnelle et inoubliable.