1921, au coeur du pays zoulou. PK naît de parents anglais. La ferme familiale respire le bonheur, jusqu'à la mort prématurée du père puis de la mère du gamin. PK est alors placé dans une institution afrikaner, où il devient la risée de ses camarades, dont le racisme s'étend jusqu'aux Anglais. Echappant de justesse à une pendaison, il est recueilli par un ami de son grand-père, Doc, un pianiste qui lui enseigne le respect de soi-même et d'autrui. Doc, de nationalité allemande, est interné dans un camp lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale. PK, autorisé à lui rendre visite, y rencontre un vieux boxeur noir qui décide de faire de lui un champion et l'initie à la boxe. Le garçon devient la mascotte des détenus...
Notre critique
La condamnation de l'apartheid a inspiré de nombreux cinéastes, avec plus ou moins de bonheur. Avildsen, à qui l'on doit "Rocky" et la série des "Karaté Kid", alterne lyrisme et violence, non sans adresse.