En décryptant des textes anciens, en étudiant les rites funéraires des Mongols médiévaux et de leurs ennemis héréditaires chinois, une équipe française a suivi, huit siècles après la mort de Gengis Kahn, la piste de l'empereur mongol, à la recherche de sa sépulture. Tous les indices convergent vers une zone sacrée interdite d'accès. Le professeur Giscard, l'un des pères de l'archéologie mongole, a pu y pénétrer avec une équipe scientifique. Les nouvelles technologies adaptées à une pratique différente de l'archéologie ont rendu possible de localiser la tombe de Gengis Khan sans intrusion, sans même donner un seul coup de pioche.