A la fin des années 1920. Un train s'arrête dans une petite gare normande. Célestine, la nouvelle bonne du vénérable monsieur Rabour, en descend. Joseph, un domestique antipathique, la mène en carriole jusqu'à la propriété bourgeoise du prieuré. Bientôt, Célestine n'ignore plus rien des travers de chacun. Elle se prête avec complaisance au fétichisme de Rabour, que les bottines féminines rendent fou, mais se refuse aux amours ancillaires que lui propose son gendre, monsieur Monteil, tenu loin de la couche conjugale par la froideur de sa femme. Elle se lie d'affection avec une jeune sauvageonne, Claire, dont on retrouve bientôt le cadavre dans un bois...
Notre critique
Du violent roman de Mirbeau, Buñuel tire quelques épisodes qu'il intègre à sa mythologie personnelle. Remarquablement interprété.
Vidéo Le journal d'une femme de chambre
Célestine
monsieur Monteil
Joseph
madame Monteil