Alain Cavalier cherche à s'approcher de l'acceptation lumineuse d'être mortel. Dans l'idée du cinéaste, tout est filmé sans aucune hiérarchie, sans préférence : humains, arbres, dieux, maisons, jouets, légendes. A condition, bien sûr, que l'amour veille...
Notre critique
""Le Paradis" (2023) déploie une poésie visuelle captivante, mêlant onirisme et réalité. Si l'esthétique est soignée, le rythme lent et la narration parfois opaque pourraient dérouter. Un film contemplatif qui séduira les amateurs de cinéma d'auteur.