Après la Seconde Guerre mondiale, certains producteurs reviennent pour relever de nouveaux défis avec ferveur, sans jamais rien lâcher, ce sont les tenaces. En 1952, sort "Jeux interdits" de René Clément. Le film n'aurait jamais vu le jour sans l'acharnement du producteur Robert Dorfmann. Spolié pendant la guerre, Pierre Braunberger, quant à lui, revient après le conflit et perçoit la possibilité d'un renouveau dans le cinéma. Il participe grandement à l'émergence de la Nouvelle Vague.