Chez les Yaaku, au Kenya, aussi bien que chez les Lazes en Turquie, le climat a permis le développement d'une végétation dense et variée, offrant des conditions idéales aux abeilles. Mais elles ne sont pas les seules à en bénéficier : de grands prédateurs, forts amateurs de miels, sont également nombreux. Les Hommes ont dû s'adapter à l'ingéniosité des nombreux voleurs de miel pour protéger le nectar et vont parfois jusqu'à s'associer avec certains prédateurs pour le récolter.