A Lombron, un petit village sarthois, Annick Foucault, 47 ans, vit seule avec ses deux chiens. En juillet 2005, un ami venu lui rendre visite la retrouve morte dans son verger, pendue à une branche avec une rallonge électrique. Les constatations du médecin légiste penchent clairement vers la thèse du meurtre, mais les gendarmes, eux, ont la conviction qu'il s'agit d'un suicide. Sept ans après les faits, les soeurs d'Annick Foucault et sa fille exigent la réouverture du dossier.