Mendelssohn disait de la 41e et dernière symphonie de Mozart qu'elle était «le modèle immortel de la symphonie». Ce n'est pas Mozart qui l'a baptisée Jupiter, mais un organisateur de concert du début du XIXe siècle. Ce nom symbolise pourtant bien le caractère glorieux, rythmique, plein d'énergie et de lumière de l'oeuvre. Jean-François Zygel et son équipe popularisent ce morceau choisi.
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Mendelssohn disait de la 41e et dernière symphonie de Mozart qu'elle était «le modèle immortel de la symphonie». Ce n'est pas Mozart qui l'a baptisée Jupiter, mais un organisateur de concert du début du XIXe siècle. Ce nom symbolise pourtant bien le caractère glorieux, rythmique, plein d'énergie et de lumière de l'oeuvre. La symphonie n°41 a été composée à Vienne durant l'été 1788. Elle clôt un ensemble de trois grandes symphonies qui seront les dernières de Mozart. Jean-François Zygel et son équipe popularisent ce morceau choisi.