Retour sur les luttes pour l'égalité menées par les divas de la «black music» à partir des années 60 à l'aide d'images d'archives. En militante convaincue des droits civiques, la chanteuse Nina Simone interprète des textes engagés comme «Mississippi Goddam» en 1964, interdit dans plusieurs Etats du Sud des Etats-Unis. En 1967, Aretha Franklin s'impose comme pionnière du féminisme avec sa reprise du tube d'Otis Redding, «Respect». Le «girl power» se poursuit dans les années 70 pendant la période disco avec Donna Summer, Diana Ross et Gloria Gaynor. La nouvelle génération avec Beyoncé et Rihanna bouscule, à son tour, les modèles de pensée anciens.