Lorsque Suzanne Viguier disparaît le 27 février 2000, la police mène une enquête serrée et examine toutes les hypothèses. Au terme des investigations, le mari de madame Viguier, Jacques, est mis en cause. Le tribunal prononce un acquittement en 2009, faute de cadavre et faute de preuves. Jugé en première instance à Toulouse, il comparaît ensuite à Albi, devant les assises du Tarn. A la fin des débats, il est définitivement acquitté.