Emmanuelle Han traverse Madagascar, des hautes terres à l'océan Indien, en empruntant le «train de la vie» sur une petite voie ferrée de 163 kilomètres. Ici, on vit le long des rails, et le passage de la machine représente la seule opportunité de gagner de l'argent. Plus de 100 000 personnes dépendent entièrement du train, sur lequel repose aussi le développement de l'économie régionale. Entre Fianarantsoa et Manakara, Emmanuelle Han découvre ce monde du rail et les villages enclavés, qui, sans train, disparaîtraient probablement de la carte.