Sur des commentaires d'Emmanuel Laurentin. Les agriculteurs, pour survivre, se sont lancés dans l'élevage intensif, les produits phytosanitaires ou le tourisme rural. Mais le productivisme a ses revers : pollution, pathologies animales et humaines, endettement et faillites. Deux branches agricoles se distinguent. D'un côté l'agro-industrie qui produit carburants et cosmétiques, de l'autre, les filières artisanales et bio, libérées des produits chimiques.