Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les membres de la pègre des pays impliqués ont souvent eu des opportunités pour continuer leurs affaires criminelles. Cependant, certains, par patriotisme ou par intérêt, ont choisi de s'engager pour soutenir l'effort de guerre allié. Ainsi Lucky Luciano, parrain américain, a négocié une remise de peine avec le président Roosevelt contre des renseignements utiles aux troupes lors du débarquement en Sicile. En France, Mémé Guérini s'est impliqué dans la Résistance, ce qui lui valu, à la Libération, d'être décoré et incidemment, de prendre le contrôle de Marseille.