Imen Ghouali et Dominique Rizet rouvrent le dossier de l'affaire Sylviane Kaas, du nom de cette femme retrouvée morte à son domicile le 5 avril 1992. Assez rapidement, la police s'intéresse au mari de la victime, André Kaas. L'enquête conduit à son arrestation. Mais le mobile n'est pas établi clairement. En 1993, un détenu le dénonce comme étant le commanditaire du meurtre de sa femme. En 1996, André Kaas est toutefois libéré, car les failles de l'accusation sont nombreuses. En 2007, la Commission nationale de réparation de la détention provisoire lui accorde une indemnité pour le préjudice subit.