Depuis le 11 octobre, en guise de rétorsion aux taxes de l'Union européenne sur les voitures électriques chinoises, Pékin a décidé de taxer les eaux de vie charentaises de 35% en moyenne - pour l'instant, il s'agit juste d'une caution à verser - mais les conséquences se font déjà sentir pour les producteurs charentais. Au menu également : l'épidémie de tuberculose bovine qui menace les élevages.