Après la défaite de Waterloo, Napoléon, accompagné de quelques fidèles, fut déporté à Sainte-Hélène, où il connut cinq années de captivité avant de rendre l'âme, en 1821. Ce document raconte son exil, qui ressembla à un calvaire, et tente de faire la lumière sur les véritables causes de sa mort, demeurées mystérieuses. David Smallan, actuel gouverneur de l'île de Sainte-Hélène, André Castelot, historien, Jacques Jourquin, secrétaire général de l'Institut Napoléon, René Maury, économiste, et Jean Tulard, professeur à la Sorbonne, exposent les différentes hypothèses avancées pour expliquer la fin de l'Empereur.