Au mois d'avril 2003, la police est avertie de la disparition inquiétante depuis une semaine de toute une famille du Grand-Bornand. La piste de l'accident, d'abord privilégiée par les enquêteurs, ne débouchant sur rien, les techniciens en identification criminelle investissent le chalet de la famille Flactif. Les premiers éléments qu'ils recueillent font présager le pire. Le chalet étant très vaste et l'enquête délicate, les enquêteurs font appel à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). La fixation de la scène de crime est la première priorité de ces spécialistes.