Aux Antilles-Guyane, l'homosexualité reste taboue. Ceux qui s'en réclament deviennent des parias et sont mis au ban de la société, comme Noam, Brice, Léon, Angel et Alan. Face à cette situation, la plupart préfèrent s'exiler vers la métropole, tandis que d'autres choisissent de se taire. Quelques-uns, toutefois, osent braver le qu'en-dira-t-on, les moqueries, les brimades et les insultes. Certains sont des militants engagés dans le milieu associatif. Ils livrent leurs témoignages.