Au lendemain de la catastrophe de Fukushima, survenue en 2011, Thomas Johnson a recueilli l'opinion des grands acteurs et experts de la filière. Il a rencontré Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, et Jacques Repussard, directeur général de la sûreté nucléaire. Il a également suivi, dans les zones contaminées de Tchernobyl et de Fukushima, la députée européenne Corinne Lepage et sa collègue de Génération écologie à Bruxelles, Michèle Rivasi, fondatrice de la CRIIRAD, Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité. Il confronte également les arguments des anti-nucléaires, comme Mycle Schneider, expert en nucléaire et prix Nobel alternatif en 1997, et le physicien nucléaire Bernard Laponche, à ceux de ses grands défenseurs tel Bernard Bigot, administrateur général du Centre de l'énergie atomique.