Le jazzman Stéphane Grappelli, disparu en décembre 1997, laisse sans aucun doute l'image d'un formidable joueur de violon, lui qui se défendait d'avoir jamais appris la musique. Vêtu de son éternelle chemise à fleurs, il a inondé de bonne humeur les scènes les plus grandes comme les plus intimes. A la fois violoniste, pianiste et compositeur, il avait, avec son grand ami Django Reinhardt, fondé le «Quintet du Hot club de France».