Stéphane Guillon a beau se sentir surveillé, il ne se laisse pas bâillonner. Sketches acerbes, imitations sans concession : l'humoriste ne s'interdit rien et a recours à la provocation pour souligner l'hypocrisie des puissants et des riches. Il aborde aussi des sujets comme la mort, la séparation, la prison ou le futur. Il revient également sur son enfance, parlant notamment de son père et de leurs longues promenades, sur son embauche à la radio, ses chroniques qui ont fait parler d'elles et sur son licenciement de France Inter.
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