Les vétérinaires se suicident quatre fois plus que le reste de la population, selon une récente étude en France, et le burn-out décime les rangs de la profession. La Suisse n'échappe pas à ce constat. Le surmenage et le stress sont en cause, mais un phénomène de société aggrave la situation : le changement de statut de nos compagnons à quatre pattes, devenus des membres à part entière de la famille. Face aux exigences énormes des propriétaires, Temps Présent donne la parole à des vétérinaires romands qui ont failli sombrer.