Le vieux Gordon tient une boulangerie à Jersey City, qui sert de couverture à ses activités criminelles. Son poulain, le tueur à gages Reggie, se montre si efficace dans son travail que les deux hommes croulent sous les dollars. Pour éviter d'attirer l'attention, ils décident de blanchir l'argent. Gordon suggère à Reggie de se mettre à peindre. Il se chargera de fourguer les croûtes à Patrice, une galeriste de Manhattan au bord de la faillite, pour qui elles feront office de bouée de sauvetage. L'ennui, c'est que Patrice est aussi douée dans son travail que Reggie dans le sien. Grâce à elle, les peintures bâclées de Reggie font sensation. Du jour au lendemain, le tueur devient une star de l'art d'avant-garde.
Notre critique
"The Kill Room" mélange thriller et humour noir dans un récit intrigant. Samuel L. Jackson et Uma Thurman brillent mais l'intrigue se perd parfois dans des détours inattendus. Divertissant, mais manque de profondeur pour laisser un impact durable.
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