En partenariat avec le Théâtre de La Monnaie, Caroline Veyt et Camille De Rijck explorent «La Clémence de Titus», de Mozart, dont l'intrigue décrit les turpitudes politiques de l'empereur Titus. Elles s'intéressent à la mise en scène du Belge Ivo van Hoove, qui installe l'oeuvre dans un univers de soap opera et s'amuse de ses ressorts : jeux de pouvoir, sexe, manipulation, trahison.
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En partenariat avec le Théâtre royal de La Monnaie, Caroline Veyt et Camille De Rijck explorent une oeuvre du XVIIIe siècle, l'avant-dernier opéra de Mozart, «La Clémence de Titus», dont l'intrigue se situe dans la Rome antique, et décrit les turpitudes politiques de l'empereur Titus. Caroline Veyt et Camille De Rijck s'intéressent à la mise en scène du Belge Ivo van Hoove, qui installe l'action dans un univers de soap opera et s'amuse des ressorts typiques (et très contemporains) de l'oeuvre : jeux de pouvoir, sexe, manipulation, trahison.
