Les femmes indiennes incarnent dans l'imaginaire collectif l'idéal de grâce au féminin et le fantasme d'une beauté innée, naturelle. Si cet art de la beauté puise aussi son inspiration et sa force dans le sacré, Capucine et Awa s'aperçoivent que blanchiment de la peau et recours à la toxine botulique font une percée remarquée. Elles s'entretiennent avec des femmes dans la rue, une actrice de Bollywood, une spécialiste de la mode et une «hijra», membre du «troisième sexe», ni homme ni femme.