Un coup de fusil opportun, tiré par le comte de Rougerac, alias Arsène Lupin, arrête le train sous lequel allait se jeter la pauvre Amélie. Celle-ci raconte alors au gentleman cambrioleur ses nombreux malheurs. Elle lui explique qu'elle est ruinée et que son seul bien, une toile de Van Beuken intitulée "La Danseuse aux sabots", lui a été volée. L'expert en peinture Denger a certifié à l'assureur Blott que cette toile était une copie. Amélie n'a touché qu'une somme ridicule pour la dédommager du vol...