Durant l'hiver 1885, Augustine travaille avec Rosalie comme domestique pour le compte d'une famille bourgeoise parisienne. Au moment de servir le dîner, elle est prise convulsions et se jette au sol, incapable de contrôler son corps. La jeune femme de 19 ans est alors internée à la Salpêtrière, dans le service dirigé par le professeur Charcot, qui soigne les hystériques. Sous les yeux du spécialiste, Augustine fait une nouvelle crise, qui laisse une partie de son visage paralysée. Charcot lui accorde bientôt toute son attention et fait d'elle la vedette de ses démonstrations d'hypnose. Entre le médecin et sa patiente, une relation particulière se noue...
Notre critique
Pour son premier long métrage, Alice Winocour choisit un sujet original, l'hystérie féminine à la fin du XIXe siècle, qu'elle traite avec sobriété et élégance. Les prestations de Stéphanie Sokolinski et Vincent Lindon sont, elles aussi, remarquables.
Vidéo Augustine

Jean-Martin Charcot

Augustine

Constance Charcot

Bourneville