Séverine et Pierre forment un jeune couple apparemment sans histoires. En fait, Séverine est en proie à des fantasmes tenaces et déstabilisants, reflets de sa frustration sexuelle. Un jour, la jeune femme apprend, par une amie, l'existence de la "maison de madame Anaïs", un bordel de luxe. Troublée par cette révélation et poussée par quelque étrange pulsion, elle contacte madame Anaïs et devient une pensionnaire assidue de sa maison. Elle y travaille de 14 à 17 heures, ce qui lui vaut le surnom de "Belle de jour". L'effet thérapeutique de cette activité clandestine se fait peu à peu sentir...
Notre critique
Au-delà de ses audaces - d'ailleurs très pudiques -, ce drame subtil et émouvant évoque les rapports ambigus et profonds entre le rêve et la réalité, le bien et le mal, le plaisir et la souffrance. Un grand film.
Vidéo Belle de jour
Séverine Sérizy, dite "Belle de jour"
Pierre Sérizy
Henri Husson
madame Anaïs