Au sommaire : Boston, les Bostoniennes et Henry James. L'écrivain capte l'esprit d'émancipation qui plane sur le Massachusetts. - En Suède, le design fleure bon la nature. L'artisanat suédois se nourrit de la nature. - Un dernier vers au café Procope. Le café parisien a accueilli les plus grands poètes.
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Sommaire
• Au XIXe siècle, il souffle, sur le Massachusetts, un vent d'émancipation. En 1886, l'écrivain américain Henry James, chantre du réalisme, capte dans son oeuvre «Les Bostoniennes» cet esprit de liberté. : Boston, les Bostoniennes et Henry James
• En Suède, la nature occupe une place déterminante. L'artisanat se nourrit de cet environnement. Au XXe siècle, il est élevé au rang d'art, grâce à des designers qui en font l'emblème de leur pays. : En Suède, le design fleure bon la nature
• Dans le quartier latin, le Procope, l'un des plus vieux cafés de Paris, a été prisé des hommes de lettres tels que Racine, La Fontaine, Diderot, d'Alembert, et un poète qui y a trouvé un second souffle. : Un dernier vers au café Procope
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