A Paris, en 1942, Lucas Steiner, un metteur en scène juif, s'est officiellement réfugié en Amérique, laissant la direction du Théâtre Montmartre à son épouse, Marion, une comédienne. En réalité, il vit dans les caves de l'établissement, qu'il n'a pas pu se résoudre à abandonner. Marion lui rend visite tous les soirs et recueille ses directives. C'est ainsi qu'elle s'apprête à monter la pièce norvégienne dont Lucas avait préparé la mise en scène. Jean-Loup Cottins, un vieil ami, introduit auprès des milieux collaborateurs, s'efforce de lui venir en aide, tandis que le premier rôle qu'elle a engagé, Bernard Granger, cumule allègrement répétitions, résistance clandestine et amour passionné pour Marion...
Notre critique
Un hommage parfois grave, parfois léger, toujours brillant, au théâtre et à ceux qui le font vivre. Une superbe réussite, récompensée par dix César - un record - en 1980.
Vidéo Le dernier métro
Marion Steiner
Bernard Granger
Jean-Loup Cottins
Lucas Steiner