PSG - Arsenal : résumé vidéo du match. Le PSG est en finale ! (2 - 1)
Le PSG a souffert, vacillé, mais a su faire preuve de sang-froid pour prendre l'avantage au score et multiplier les opportunités. Rien n’a été simple dans cette demi-finale retour, mais avec un Donnarumma impérial dans ses cages, et les prestations majuscules de Fabian Ruiz et João Neves, les Parisiens ont su répondre présent pour valider leur ticket pour la finale de la Ligue des Champions.
Après avoir remporté la manche aller à Londres (1-0), le champion de France devait confirmer au Parc des Princes, dans une ambiance électrique. Malgré la dynamique positive entretenue depuis plusieurs mois, et la victoire acquise à l’Emirates, la méfiance restait de mise, notamment à cause de l’absence d’Ousmane Dembélé, toujours diminué. Barcola, Kvaratskhelia et Doué composaient ainsi le trio d’attaque, avec pour mission de faire oublier le forfait du Français.
En face, Arsenal récupérait Thomas Partey au milieu, un renfort immédiatement perceptible. Le Ghanéen rééquilibrait l’entrejeu et ses longues touches créaient le danger. Dès la 4e minute, Martinelli obligeait Donnarumma à une première parade, suivie d’un arrêt décisif sur une frappe d’Odegaard à la 8e. Rice avait déjà manqué une tête dangereuse en début de match (3e). Paris étouffait, et seul son gardien semblait pouvoir le maintenir à flot.
Peu à peu, les hommes de Luis Enrique reprenaient leur souffle. Le coach espagnol ne cachait pas son agacement sur le banc, mais ses joueurs trouvaient un second souffle. Un premier avertissement venait de Kvaratskhelia, dont la frappe venait heurter le poteau (17e). La délivrance arrivait dix minutes plus tard : un coup franc mal repoussé par Partey profitait à Ruiz, qui envoyait une lourde frappe du gauche au fond des filets (1-0, 27e).
Ce but, un peu contre le cours du jeu, permettait au PSG de basculer dans un style de jeu plus direct, exploitant les contres. Pourtant, les occasions suivantes n’étaient pas converties. Barcola ne profitait pas d’un bon service de Kvaratskhelia (30e), puis Doué se heurtait à Raya avant la pause (44e). Le scénario se répétait après la reprise : ni Doué (54e), ni Barcola (63e) ne parvenaient à faire le break.
L’Italien dans les cages continuait son récital, repoussant un tir crucial à la 64e minute. Lorsque la VAR offrait un penalty à Vitinha, Raya s’interposait encore (69e). Mais le Parc n’allait pas douter longtemps : sur une accélération de Kvaratskhelia, Hakimi surgissait dans la surface pour ajuster un tir enroulé imparable (2-0, 72e).
Le stade exultait, croyant enfin à une fin sereine. Pourtant, le PSG ne sait jamais vraiment fermer les matchs. Sur un ballon anodin, Trossard prenait le dessus sur Marquinhos et servait Saka, qui relançait les siens (2-1, 76e). L’Emirates revivait brièvement au cœur du Parc, d’autant plus après une nouvelle opportunité manquée par Saka (80e).
Les dernières minutes étaient irrespirables. Arsenal poussait (86e, 90e+1, 90e+4), mais le PSG tenait bon. Les Parisiens se procuraient même quelques dernières situations (81e, 82e), avant que l’arbitre ne mette fin au suspense dans une explosion de joie.
Le 31 mai prochain, c’est à Munich que le PSG disputera sa deuxième finale de Ligue des Champions. Un rendez-vous avec l’histoire, face à l’Inter.
En face, Arsenal récupérait Thomas Partey au milieu, un renfort immédiatement perceptible. Le Ghanéen rééquilibrait l’entrejeu et ses longues touches créaient le danger. Dès la 4e minute, Martinelli obligeait Donnarumma à une première parade, suivie d’un arrêt décisif sur une frappe d’Odegaard à la 8e. Rice avait déjà manqué une tête dangereuse en début de match (3e). Paris étouffait, et seul son gardien semblait pouvoir le maintenir à flot.
Peu à peu, les hommes de Luis Enrique reprenaient leur souffle. Le coach espagnol ne cachait pas son agacement sur le banc, mais ses joueurs trouvaient un second souffle. Un premier avertissement venait de Kvaratskhelia, dont la frappe venait heurter le poteau (17e). La délivrance arrivait dix minutes plus tard : un coup franc mal repoussé par Partey profitait à Ruiz, qui envoyait une lourde frappe du gauche au fond des filets (1-0, 27e).
Ce but, un peu contre le cours du jeu, permettait au PSG de basculer dans un style de jeu plus direct, exploitant les contres. Pourtant, les occasions suivantes n’étaient pas converties. Barcola ne profitait pas d’un bon service de Kvaratskhelia (30e), puis Doué se heurtait à Raya avant la pause (44e). Le scénario se répétait après la reprise : ni Doué (54e), ni Barcola (63e) ne parvenaient à faire le break.
Donnarumma, encore lui, et la délivrance signée Hakimi
L’Italien dans les cages continuait son récital, repoussant un tir crucial à la 64e minute. Lorsque la VAR offrait un penalty à Vitinha, Raya s’interposait encore (69e). Mais le Parc n’allait pas douter longtemps : sur une accélération de Kvaratskhelia, Hakimi surgissait dans la surface pour ajuster un tir enroulé imparable (2-0, 72e).
Le stade exultait, croyant enfin à une fin sereine. Pourtant, le PSG ne sait jamais vraiment fermer les matchs. Sur un ballon anodin, Trossard prenait le dessus sur Marquinhos et servait Saka, qui relançait les siens (2-1, 76e). L’Emirates revivait brièvement au cœur du Parc, d’autant plus après une nouvelle opportunité manquée par Saka (80e).
Un soulagement au bout du suspense
Les dernières minutes étaient irrespirables. Arsenal poussait (86e, 90e+1, 90e+4), mais le PSG tenait bon. Les Parisiens se procuraient même quelques dernières situations (81e, 82e), avant que l’arbitre ne mette fin au suspense dans une explosion de joie.
Le 31 mai prochain, c’est à Munich que le PSG disputera sa deuxième finale de Ligue des Champions. Un rendez-vous avec l’histoire, face à l’Inter.
PSG - Arsenal résumé vidéo du match
Debrief After Foot (vidéo)
par TV-Programme.com
"L'équipe rédactionnelle de TV-Programme.com"
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