Gabriel Markham, détective torturé et défiguré, se lance dans la quête obsessionnelle d'un serial killer qui a laissé sur lui une marque autant physique que psychologique. La particularité narrative est que l'histoire débute à partir de la fin.
Notre critique
"Rellik" intrigue par sa narration inversée, dévoilant d'abord les conséquences avant les causes. Si l'idée est audacieuse, elle devient parfois confuse, affaiblissant l'attention. Malgré de bonnes performances, le rythme inégal freine l'immersion dans ce thriller sombre.