La famille Balboa coule des jours paisibles. Un peu trop paisibles peut-être. En effet, tandis qu'Adrienne s'occupe de Rocky junior, l'idole de la boxe se ramollit : il consacre plus de temps à évoquer ses vieux combats avec Apollo Creed, son adversaire d'antan devenu son ami, qu'à s'entraîner sur le ring. La tournée américaine d'un géant soviétique, Ivan Drago, fait sortir Apollo de ses gonds et de sa retraite. Mais en trois rounds sanglants, Drago massacre l'infortuné Creed, insuffisamment préparé. Rocky, choqué par cette boucherie, jure de venger son ami et de restaurer l'honneur bafoué de l'Amérique. Il reprend donc l'entraînement en URSS, tandis que Drago affine ses directs meurtriers sous l'oeil admiratif de son épouse, la sculpturale Ludmilla...
Notre critique
Les fans de "Sly" ont, paraît-il, un petit faible pour ce quatrième volet. Rocky y devient justicier et patriote. A noter l'importance de la bande originale avec James Brown ("Living in America") et Survivor ("Eye of the Tiger").