Jack revendique une soixantaine de meurtres. Cet assassin méthodique revient sur le sort qu'il a réservé à cinq femmes. Jack est fou, atteint de TOC et narcissique. Seuls les meurtres lui permettent de se soulager. Jack se prend pour un artiste, ce que conteste Verge, à qui il se confie...
Notre critique
"The House That Jack Built" est un film sombre et dérangeant qui explore les méandres de la psyché humaine à travers un serial killer. La mise en scène audacieuse de Lars von Trier et la performance captivante de Matt Dillon en font un portrait sinistre et fascinant de la violence et de la culpabilité. À voir pour les amateurs de films provocateurs.