Tandis que Daniel comble son manque affectif par une frénésie de dépenses inconsidérées, Marion s'occupe du cas d'un petit Congolais au comportement violent.
Une famille d'accueil se voit contrainte de confier à Marion le petit Congolais qu'elle avait recueilli. Le garçon, prénommé Prosper, fait preuve d'accès de violence incontrôlables. Le massacre de sa famille pendant la guerre civile n'est-il pas à l'origine du comportement de Prosper ? Pendant ce temps, les enfants multiplient les stratagèmes afin de rapprocher leurs parents, mais sans succès. Absorbée par le cas de Prosper, Marion ne remarque pas que Daniel, lui, subit de plein fouet son manque affectif, au point de se lancer en compensation dans une frénésie consumériste...