Le culte de la mort occupe une place prépondérante dans l'Égypte ancienne. Nécropoles, pyramides, momies et sarcophages, les ¾ des découvertes archéologiques sur le sol égyptien ont un rapport direct avec les rites funéraires. Les anciens Égyptiens aimaient tellement la vie qu'ils espéraient pouvoir en bénéficier même après leur mort. Ils se faisaient momifier, pour avoir un corps éternel. Leurs sépultures étaient conçues comme des maisons d'habitations, aux murs peints des couleurs de la vie. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi passer devant Osiris, le Dieu des morts, qui décidait après avoir jugé les actes du défunt d'accorder ou non la vie éternelle. Cette vieille idée, de jugement après la mort, n'a pas disparu. Chrétiens et musulmans égyptiens espèrent être comptés au nombre des élus, lors du jugement dernier.
Le culte de la mort occupe une place prépondérante dans l'Égypte ancienne. Nécropoles, pyramides, momies et sarcophages, les ¾ des découvertes archéologiques sur le sol égyptien ont un rapport direct avec les rites funéraires. Les anciens Égyptiens aimaient tellement la vie qu'ils espéraient pouvoir en bénéficier même après leur mort. Ils se faisaient momifier, pour avoir un corps éternel. Leurs sépultures étaient conçues comme des maisons d'habitations, aux murs peints des couleurs de la vie. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi passer devant Osiris, le Dieu des morts, qui décidait après avoir jugé les actes du défunt d'accorder ou non la vie éternelle. Cette vieille idée, de jugement après la mort, n'a pas disparu. Chrétiens et musulmans égyptiens espèrent être comptés au nombre des élus, lors du jugement dernier.