À l'été 2000, le sous-marin nucléaire K-141 Koursk appareille pour de grandes manœuvres en mer de Barents. Les hommes d'équipage, qui accumulent les arriérés de solde, n'ont guère d'espoir de toucher la prime promise pour leurs tirs d'essai, qui visent, entre autres démonstrations de force, à prouver aux Russes que l'armée garde toute sa puissance, comme le président Poutine, récemment élu, le leur a garanti. Le 12 août, dès le début de l'exercice, une double explosion de grande ampleur dans la chambre de tir détruit une partie du sous-marin, qui sombre dans les fonds glacés. Le temps presse pour entreprendre le sauvetage des 23 hommes encore vivants et piégés dans l'épave du sous-marin. Que s'est-il passé à bord du Koursk ?
Notre critique
Thriller claustrophobique, drame humain et critique politique d'une bureaucratie obtuse et froide, "Kursk" n'est néanmoins pas toujours à la hauteur de son tragique sujet.
Complètement révisionniste : Quand l'Otan revisite l'histoire et les dégâts causés par la politique américaine. Que dire de la pauvre Léa S. Comme s'il suffisait d'être blonde pour représenter la soviétique russe (ma mère Irina Michaïlovna était une femme brune) encore faut-il du talent.
Ben voyons... C'est sûr, la catastrophe du kousk est une pure invention de ces salauds d'occidentaux, tout comme celle de tchernobyl qui n'est qu'une pure invention. Et puis, c'est évident, si ta mère russe est brune alors il est éminemment stupide d'imaginer qu'une femme russe puisse être blonde...
Vidéo Kursk

Mikhail Averin

Tanya Averina

David Russell

Vladimir Petrenko