Vous entrez dans une salle d'attente. Devant vous, quatre chaises. Les deux chaises du milieu sont occupées par un homme blanc et un homme noir habillés de la même manière : de quel côté allez-vous vous asseoir ? Dans cette émission, cinquante volontaires participent à des expériences comme celle-ci, toutes documentées dans des publications scientifiques internationales et adaptées pour la télévision. Objectif : comprendre les mécanismes inconscients à l'origine de comportements discriminants. En permanence, l'attitude des participants est observée et décryptée par le conseiller scientifique Sylvain Delouvée et commenté par le réalisateur et comédien Lucien Jean-Baptiste. Les résultats sont stupéfiants et riches d'enseignements.
Inintéressant peut être pour vous , perso je pense que ce doit être une bonne émission.
Un homme noir entre dans une salle d'attente. Devant lui, quatre chaises. Les deux chaises du milieu sont occupées par un homme blanc et un homme noir habillés de la même manière : de quel côté l'homme noir va-t-il s'asseoir ?... Comme dit plus haut, le racisme n'a pas de couleur. Il serait temps de prendre également en compte l'existence (tabou visiblement...) du racisme anti-blanc ! N'avons-nous pas encore assez d'exemples ?...Être contre le racisme, c'est être contre TOUS les racismes... Je vais donc bien sagement boycotter cette émission qui promet d'être là encore bien joliment politiquement correcte et d'une belle propagande. Bonne soirée...
blablabla, blablabla... propagande de la chaine payée par nos impôts !
Le raciste est en effet universel. Comme l'amour, la haine, le besoin de justice... Mais pourquoi parler de racisme anti blanc quand les 50 candidats sonts blanc, noirs, marrons, d'origine française ou etrangére ? Les réactions sur ce forum démontre encore une fois 2 choses à déconstruire (et j'en fait partie, pas de problème) : - les stéréotypes ont la dent dure et continuent d'étre véhiculés aisément, - nos opinions personnelles, sans prendre le temps de regarder/écouter, nous confortent dans ces stéréotypes.
Je n'ai pas vu ce document télévisuel ; je ne peux donc faire de commentaire sur sa valeur. Par contre, je me suis toujours interrogé sur, non pas le racisme, mais la xénophobie, ou, dit autrement, la peur de l'étranger, de l'étrange, de ce qui ne nous ressemble pas… À huit mois, un enfant refuse un "étrange" dans son domaine d'exploration. Pas à sept mois, pas à neuf mois. Un psychologue de l'enfance, dont la pensée a eu le malheur d'être trop complexe pour être diffusée et reconnue, avait établi que l'enfant traversait plusieurs stades "sociaux" où, dans les uns, il se montrait ouvert, dans les autres, il se fermait aux autres, et que cette alternance créait son univers et son acceptation de l'autre. (ce psychologue s'appelait Henri Wallon)… Sortons de l'enfance et projetons-nous dans le monde adulte… Sommes-nous, chacun, individuellement, prêt à fonder une famille, serait-elle temporaire, avec une personne issue d'une culture tellement différente de la nôtre que cela remettrait en cause nos propres fondements culturels ? J'ai ma réponse, et elle n'est pas si franche que cela car, comme en chacun d'entre nous, il reste une part d'ambiguïté, de savoir où l'on se situe… On peut être ouvert à l'étrange, à l'étranger, mais jusqu'à un certain point. On peut être fermé à cet autre qui nous fait peur, mais là aussi jusqu'à ce qu'une rencontre, un événement fasse basculer nos convictions, nos appréhensions. L'étranger se situe au carrefour de nos envies, de nos angoisses et, parfois, nous avons besoin de sécurité, parfois d'ouverture. L'étranger n'a rien à voir avec une couleur de peau, une origine sociale, une différence culturelle ou pécuniaire. Il est ce grain de sable qui, volontairement ou involontairement de sa part, vient troubler notre confort. À un instant de notre vie, pour toujours ou à jamais, nous acceptons ce…
Quelle émission gneugneu ! Ha ben, c'est sûr que ça va faire avancer le schmilblic.