Pour échapper à la convoitise de Brutus, le fils machiavélique de César, une princesse grecque, la douce Irina, annonce que son coeur ira au champion des prochains Jeux olympiques. Pour Alafolix, c'est un drame. Car ce jeune Gaulois éperdument amoureux d'Irina n'a pas la condition physique pour affronter les plus grands athlètes de l'Empire romain. C'est alors qu'il se tourne vers Panoramix. Grâce à sa potion magique, il peut l'aider. Amusé à l'idée d'infliger une nouvelle défaite aux Romains, le vieux druide se laisse convaincre. A la seule condition qu'Astérix et Obélix accompagnent le jeune homme à Olympie...
Notre critique
Une production familiale dont l'ambition se résume à ses décors aussi décalés que monumentaux, signés Aline Bonetto, complice de longue date de Jean-Pierre Jeunet et déjà deux fois nommée aux Oscars.
C'est mou, mal joué, mal filmé. Le plus mauvais Asterix avec le dernier de Canet.
L’œuvre de Uderzo et Gosciny est régulièrement pourrie, soit par des dessins minablement animés , soit par des iconoclastes mégalo et mercantiles, comparables aux cabots laissant leurs productions sur les plus beaux sites, pour se convaincre qu’ils existent (merci à ceux qui ne méritent pas ce descriptif). Solution préventive : classer au patrimoine national immatériel l’œuvre réalisée de leur vivant par ces deux auteurs géniaux.