Au début des années 1950, le rock'n'roll naissant est en quête d'identité(s) et cherche encore ses voix. L'apparition sur la scène de Richard Wayne Penniman, chanteur et pianiste de gospel et de rythm'n'blues, le propulse dans une nouvelle dimension. Noir, homosexuel, extraverti et fantasque, celui qui se nommera bientôt Little Richard ouvre déjà une brèche dans une Amérique blanche et puritaine.
Notre critique
"Little Richard: I Am Everything" propose un vibrant hommage à l'une des légendes du rock. Le documentaire explore avec justesse sa complexité, sa musique révolutionnaire et son impact culturel, mais parfois manque d’approfondir certains aspects personnels clés.