Vendetta

À travers trois épisodes captivants, Vendetta retrace l’histoire de la Brise de mer, un clan criminel redoutable qui a régné sur la Corse et le grand banditisme français pendant 25 ans. Depuis ses débuts dans les années 1970, où une bande de jeunes braqueurs corses enchaîne attaques à main armée et assassinats, jusqu'à son implosion dans une guerre fratricide, ce documentaire propose une plongée inédite dans l’univers de la première mafia française.

Grâce à une enquête rigoureuse menée par la journaliste Violette Lazard et le réalisateur Philippe Lagnier, la série dévoile les mécanismes de ce système mafieux, en explorant son influence sur l’île et son ancrage dans la culture corse. Témoignages exclusifs, archives rares et analyses permettent de comprendre comment cette organisation criminelle a su prospérer dans l’ombre avant de s’effondrer sous le poids de ses rivalités internes.

Entre pouvoir, trahisons et omerta, Vendetta révèle une facette méconnue de l’histoire criminelle française et interroge l’héritage laissé par la Brise de mer.

Réalisé par Philippe Lagnier

La Brise de Mer est née dans un petit village corse, La Porta. À la fin des années 1970, des délinquants, prennent l'habitude de se réunir dans un bar sur le vieux-port de Bastia, nommé à l'époque « Brise de Mer », et dirigé par un certain Antoine Castelli. Ils se livrent d'abord à de la petite délinquance, pas toujours avec succès du reste - par exemple, à l'occasion d'un braquage, ils se seraient aperçus, une fois arrivés sur place, qu’ils avaient oublié leurs armes !

21 jours 1 J'aimeRépondre

Pourquoi dire "fils de bourgeois" ? La progéniture issue de cette classe sociale a-t-elle le monopole de la crapulerie ? En fait, c'est toujours le même biais idéologique ! Il y a le camp du "Bien" ( les classes populaires ?) et le camp du "Mal" ( la classe bourgeoise ). Marx est, hélas, toujours là !

21 jours J'aimeRépondre

Apprenons à lire ! Dans la critique , il n'a jamais été dit qu'il n'y a QUE les fils de bourgeois qui font des braquages. Dans le scénario du film, c'était en effet des fils de bourgeois. Mais nous savons tous que chaque classe sociale a ses "bons" et ses "mauvais". Serait-il interdit de dire les choses quand c'est la bourgeoisie qui dérape ? Et Marx n'a rien à voir là-dedans ... Christian F.P.

21 jours 1 J'aime

Au contraire, Il faudrait relire Marx et tirer les leçons de son enseignement

21 jours 1 J'aime

C'est justement parce que cela dénote par rapport au discours dominant de dénigrement sur les classes populaires des quartiers !

21 jours J'aime

gimija
« Une poignée de fils de bourgeois », de mon point de vue, le résumé du documentaire souhaite souligner que bien qu'issus d'un milieu plus favorisé que "les voyous de quartiers", tels qu'ils sont nommés, ont reçu une meilleure instruction, certainement aussi une meilleure éducation et un meilleur cadre de vie. Cela ne les a pas empêché de sombrer dans la délinquance et de commettre des crimes. De tels choix sont en effet difficilement compréhensibles. En effet comme le souligne Christian F.P., toutes les classes sociales ont leurs voyous. Que nous soyons issus de la bourgeoisie, ne doit pas nous interdire d'être objectifs au lieu de le prendre comme une attaque ou une offense personnelle. Bonne soirée

21 jours J'aime

gimija
Évidemment que je vais regarder le documentaire et le suivant. Je remercie le service publique de nous donner l'occasion de mieux comprendre certains faits. Je garde mon avis sur les documentaires une fois que je les aurai visionnés. Mais déjà, aborder ces événements est une excellente démarche.

21 jours J'aimeRépondre

La mesure n,était pas leur fort.. .

21 jours J'aimeRépondre